composer
ma
célébration
R : Le Seigneur est mon berger rien ne peut me manquer
Ou : Si je traverse les ravins de la mort, je ne crains aucun mal car tu es avec moi
Le Seigneur est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d’herbe fraîche,
il me fait reposer.
Il me mène vers les eaux tranquilles
et me fait revivre ;
Il me conduit par le juste chemin
pour l’honneur de son nom.
Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal,
car tu es avec moi :
ton bâton me guide et me rassure.
Tu prépares la table pour moi
devant mes ennemis ;
tu répands le parfum sur ma tête,
ma coupe est débordante.
Grâce et bonheur m’accompagnent
tous les jours de ma vie ;
j’habiterai la maison du Seigneur
pour la durée de mes jours.
R : J’en suis sûr je verrai les bontés du Seigneur sur la terre des vivants
Le Seigneur est ma lumière et mon salut ;
de qui aurais-je crainte ?
Le Seigneur est le rempart de ma vie ;
devant qui tremblerais-je ?
J’ai demandé une chose au Seigneur,
la seule que je cherche :
habiter la maison du Seigneur
tous les jours de ma vie,
pour admirer le Seigneur dans sa beauté
et m’attacher à son temple.
Écoute, Seigneur, je t’appelle !
Pitié ! Réponds-moi !
Mon coeur m’a redit ta parole :
« Cherchez ma face. »
C’est ta face, Seigneur, que je cherche :
ne me cache pas ta face.
Mais j’en suis sûr, je verrai les bontés du Seigneur
sur la terre des vivants.
« Espère le Seigneur, sois fort et prends courage ;
espère le Seigneur. »
R : Mon âme a soif du Dieu Vivant quand le verrai-je face à face ?
Ou : Conduis-nous Seigneur Jésus aux sources de la vie
Comme un cerf altéré cherche l’eau vive,
* ainsi mon âme te cherche toi, mon Dieu.
Mon âme a soif de Dieu, le Dieu vivant ;
* quand pourrai-je m’avancer, paraître face à Dieu ?
Envoie ta lumière et ta vérité : qu’elles guident mes pas
* et me conduisent à ta montagne sainte, jusqu’en ta demeure.
J’avancerai jusqu’à l’autel de Dieu, vers Dieu qui est toute ma joie ;
* je te rendrai grâce avec ma harpe, Dieu, mon Dieu !
Pourquoi te désoler, ô mon âme, et gémir sur moi ?
* Espère en Dieu ! De nouveau je rendrai grâce : il est mon sauveur et mon Dieu !
R : Le Seigneur est tendresse est pitié
Le Seigneur est tendresse et pitié, lent à la colère et plein d’amour ;
il n’agit pas envers nous selon nos fautes, ne nous rend pas selon nos offenses.
comme la tendresse du père pour ses fils, la tendresse du Seigneur pour qui le craint !
Il sait de quoi nous sommes pétris, il se souvient que nous sommes poussière.
L’homme ! ses jours sont comme l’herbe ; comme la fleur des champs, il fleurit :
dès que souffle le vent, il n’est plus, même la place où il était l’ignore.
Mais l’amour du Seigneur, sur ceux qui le craignent, est de toujours à toujours,
* et sa justice pour les enfants de leurs enfants,
pour ceux qui gardent son alliance et se souviennent d’accomplir ses volontés.
R : Je marcherai en présence du Seigneur sur la terre des vivants
Le Seigneur est justice et pitié, notre Dieu est tendresse.
Le Seigneur défend les petits : j’étais faible, il m’a sauvé.
Je crois, et je parlerai, moi qui ai beaucoup souffert,
moi qui ai dit dans mon trouble : « L’homme n’est que mensonge. »
Il en coûte au Seigneur de voir mourir les siens !
Ne suis-je pas, Seigneur, ton serviteur, moi, dont tu brisas les chaînes ?
R : Des profondeurs je crie vers toi Seigneur, Seigneur écoute mon appel
Ou : Je mets mon espoir dans le Seigneur, je suis sûr de sa parole
Des profondeurs je crie vers toi, Seigneur,
Seigneur, écoute mon appel !
* Que ton oreille se fasse attentive
au cri de ma prière !
Si tu retiens les fautes, Seigneur,
Seigneur, qui subsistera ? *
Mais près de toi se trouve le pardon
pour que l’homme te craigne.
J’espère le Seigneur de toute mon âme ;
* je l’espère, et j’attends sa parole.
Mon âme attend le Seigneur
plus qu’un veilleur ne guette l’aurore.
Oui, près du Seigneur, est l’amour ;
près de lui, abonde le rachat. *
C’est lui qui rachètera Israël
de toutes ses fautes.